Marcel Proust a toujours su que sa gloire reposerait entièrement sur son roman « A la recherche du temps, perdu » aussi considérait-il ses autres écrits comme mineurs, simples ébauches de l’œuvre principale dont il n’entreprend l’écriture que tardivement mais à laquelle il consacrera toute son énergie et tout son temps jusqu’à son tout dernier jour.
- L’Indifférent (nouvelle parue dans une revue éphémère vers 1893)
- Les Plaisirs et les Jours (Calmann-Lévy 1896)
- La Bible d’Amiens (Traduction de Ruskin 1904)
- Sésame et les lys (Traduction de Ruskin 1906)
- Du côté de chez Swann (Grasset 1913)
- A l’ombre des jeunes filles en fleurs (NRF 1918) Prix Goncourt
- Jalousie (Le Castot Astral 1921)
- Le côté de Guermantes I et II (NRF 1921-1922)
- Sodome et Gomorrhe I et II (NRF 1922-1923)
- Précaution inutile (posthume, Le Castor Astral 1923)
- La prisonnière (posthume, NRF 1925)
- Albertine disparue ou la Fugitive (posthume, NRF 1927)
- Le Temps retrouvé (posthume, NRF 1927)
- Pastiches et Mélanges (1919)
- Chroniques (1927)
- Jean Santeuil (posthume, 1952)
- Contre Sainte-Beuve (posthume, 1954)
- Correspondance
Marcel Proust est l’un des écrivains français les plus lus dans le monde entier. « La Recherche » est traduite dans pratiquement toutes les langues et est publié dans un nombre incalculable d’éditions des plus populaires aux plus luxueuses.
On pourra se reporter à la rubrique Proust dans le monde pour trouver une liste d’éditions de « La recherche » dans les principales langues parlées dans le monde.
Merci pour ce travail monumental qui me donne envie de lire et me permet de découvrir Marcel Proust.
Je réalise un Lecturama sur « Un amour de Swan » et je vous en fait part dès que je l’ai fini
Amicalement Bernard
Un grand merci de ma part aussi. J’ai déjà voulu lire cet oeuvre magistral. Ma langue maternelle étant le Néerlandais, je veux le lire néanmoins en Français. Les longes phrases m’obligent de temps en temps de mettre une traduction à côté.
Bravo ! c’est la meilleure façon d’apprendre une langue.
Bien cordialement à un proustien néerlandais